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Adopté en 1999 par l’Organisation Mondiale du Tourisme puis reconnu par les Nations Unies en 2001, le Code mondial de l’éthique du tourisme est le document majeur qui encadre l’activité du tourisme en général. Il évoque, entre autres, vos droits en tant que touriste. Si vous ne les connaissiez pas tous, alors vous venez d’ouvrir la bonne page.
Concernant la circulation
Que vous soyez touristes ou visiteurs, vous avez le droit, en vertu du droit international et des législations nationales, de circuler librement à l’intérieur d’un pays ou d’un État. Vous pouvez, si vous le souhaitez, avoir accès aux zones de séjour et de transit.
L’accès aux sites touristiques et culturels ne doit non plus être subordonné à aucune formalité excessive ou discriminatoire. Par ailleurs, dès que vous arrivez dans un pays en tant que touriste ou visiteur, l’accès aux services de santé locaux, aux services judiciaires et aux services administratifs doivent vous êtes facilité. En vertu des conventions diplomatiques en vigueur, vous avez la possibilité de rencontrer les autorités consulaires de votre pays d’origine.
Et si vous vous sentez lésé à un niveau, vous pouvez vous plaindre. Mais puisque vous êtes là pour le plaisir de la découverte, il vaudra mieux choisir les meilleures destinations en consultant de bons sites de tourisme comme le site cap découverte. Vous éviterez ainsi des situations où vos droits en tant que touriste sont remis en cause.
Concernant la communication
En tant que touriste ou en tant que visiteur, vous avez, en vertu de la loi, le droit d’utiliser n’importe lequel des moyens de communication disponibles dans le pays.
De même, vous avez les mêmes droits que les citoyens du pays en ce qui concerne la confidentialité des données et des informations personnelles vous concernant.
Concernant les procédures administratives
Dans le but de favoriser l’accès au tourisme international, les procédures administratives nécessaires pour la traversée des frontières ne doivent pas être de nature à décourager le tourisme.
Les procédures d’obtention de visa, les formalités sanitaires et douanières doivent être aussi souples que possible. Les impôts qui pénalisent l’industrie touristique n’ont donc pas leur raison d’être.